 |  Sujet: Alone in the dark ( libre)  Jeu 31 Jan - 21:07 | |
| Il n'était pas loin de 3 heure du matin, l'inverse de la trinité. L'obscurité illustrait bien cela, quiconque aurait une bonne imagination en rase campagne pourrais imaginer des démons a l'affut d'une âme égarée. La seule âme errante des environs, chevauchait paisiblement les chemins obscure en direction d'un endroit bien connu. Les sabots de sa monture aliens frappaient en cadence le petit chemin forestier tout deux restaient silencieux. L'alien comprenait que sa camarade avait besoin de ce silence. Il avait tenu a l'accompagner, toute fois... Le duo arriva a destination après une route interminable, la jeune fille mit pied a terre puis laissa l'alien, se dirigeant vers les bâtisses.
La jeune femme n'étaie pas venue ici depuis des mois. A vrai dire même si elle l'aurait voulut elle n'avait pas pu. Beaucoup de gens pensait qu'elle était coupable de la mort de sont père, sont ex et quelques employés. Beaucoup notamment les forces de l'ordre... Si elle pouvait comparer sa vision de la justice a celle légale... Y a pas photos, même si elle parait folle sa vision de la justice est la meilleur.
" Hum ..."
Elle se pencha et pris entre ses mains gantés un morceau de terre encore remplie de cendre, puis elle releva sont regard vers ce qui était autre fois le fier ranch. Les écuries avaient brûlés seule les fondations tenaient encore le bois était noircis. Les criminels avaient volé une bonne partie des chevaux et tués les autres dont sa monture rain dancer. Carolia avait perdu tout le monde, sont père ... sont petit ami ... sont frère, ses amis, sont cheval, sa vie. Devenir une vengeresse la maintenait en vie et après ? Plissant les yeux, ne voulant pas songer à ce qu'elle fera après sa vengeance. Pour la première fois depuis des mois, elle semblait avoir pris des années sont visage assombris semblait être celui d'une survivante.
" P'pa, tu me manque. Pourquoi je suis partie en cours ... J'aurait du partir avec vous. Je suis ... seule. "
La dame noire posa le genoux au sol, penchant la tête sa fine chevelure noire recouvrit un visage baigner par les larmes. Le cliquetis du fourreau de sont arme brisa le silence qui c'était instaurer dans les lieux. Seul un petit oiseau nocturne et le bruissement des feuilles des arbres bercés par le vent donnait un peu de vie a ce champs de combats. |
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